Mira est sur Amazon ! Retour sur la dernière ligne droite pour finir son livre

 Enfin un article sur mon nouveau livre en lice pour le concours Amazon !

Je me permettrai tout d’abord de vous parler un peu de mon livre, car finalement, je n’ai toujours pas annoncé officiellement sur mon site qu’il était disponible, je me suis contentée de mettre à jour quelques liens ! oO

Ensuite, je vous parlerai du travail de forçat qui précède la sortie d’un livre en indépendant. La dernière ligne droite: comment je m’y étais préparé, ce que j’ai réussi, ce que j’ai raté et des exemples de lancements mieux orchestrés 😉

 Pour commencer, le roman : « Mira, la Bataille de l’Eau »

Couverture du livre Mira, une jeune femme d'origine Inuit tiens dans ses mains une lumière, source de son pouvoir. Derrière elle, l'esprit du dragon qui la protège.
© Laure Ngo (Mistral)

 2046, Canada. L’eau douce s’appelle aujourd’hui l’Or Bleu et les peuples s’entretuent pour ce trésor vital. Au sein du chaos, des pouvoirs psychiques sont apparus : les « miras ». La jeune Pashka utilise son mira pour protéger les blessés pendant les combats. Alors qu’il ne lui reste plus qu’un hiver de service militaire avant d’être libre, elle découvre un petit garçon sur un champ de bataille. L’enfant soldat doit être abattu, c’est le protocole. Mais qui pourrait obéir à un ordre pareil? Pashka se battra pour protéger ce garçon innocent menacé par son lieutenant, un homme prêt à tout pour gagner cette sale guerre. Et pour cela, il a besoin des pouvoirs de Pashka…

Quel choix a-t-elle ? Entre ceux qu’elle aime et ne sait pas protéger et ceux qu’elle hait de toutes ses forces mais ne peut pas se résoudre à tuer…

A propos de l’histoire:
Mira est un univers hybride mêlant un imaginaire japonais de cyberpunk/pouvoirs psy avec des personnages débordant d’émotions. Combats et romance s’entrecroisent pour dépeindre un futur glaçant: Guerre de l’eau et du pétrole, milices fanatiques et gouvernements hypocrites, enfants soldats… Pashka devra choisir entre l’amour et le devoir au milieu de tout cela.

Collection : Josei (Adulte & Romance)
Genre: Science-Fiction

Vous pouvez lire le 1er chapitre en ligne
Pour avoir plus d’informations sur l’univers et la génèse de l’histoire, rendez-vous vous sur la page du livre
Et si vous êtes déjà convaincus, cela se passe sur Amazon 2,99€! Le livre est déjà disponible au format Kindle ^-^ (je bosse encore sur la version papier !)

 Retour sur la création du livre : la dernière ligne droite

 Il faut savoir que je pensais avoir trois mois pour finaliser mon livre pensant qu’Amazon ouvrirait son concours au 1er juillet comme l’année d’avant. J’ai appris mi-mars que je n’avais finalement que juste au 1er mai ! Alors, j’ai lancé l’état de crise !

J’ai commencé par des listes de tâches, écrites à droite à gauche sur des post-it. Je me disais, il faut faire ça, et ça, et ça aussi ! J’ai lors senti cette boule, qui commence dans le ventre, passe par le cœur en l’accélérant et qui finit dans la gorge pour vous étouffer : l’angoisse du surmenage. Ce sentiment qui naît quand tout est urgent, tout est important et où le temps manque cruellement. Cette sensation, je la connaîs bien car c’est mon pain quotidien au boulot. J’ai donc repris le contrôle et j’ai fait un Gantt. Qu’est-ce que c’est ? Cela peut être un logiciel hyper complexe de gestion de projet. Mais cela peut également être aussi une simple liste de tâches au format Excel. Il s’agit de les éclater en micro-tâches puis de les ordonner par catégories et d’ajouter une notion de calendrier pour prioriser chaque micro-tâche. N’hésitez pas à cliquer sur ce lien pour avoir le fichier dont je me suis servie.

Il est ensuite nécessaire de déterminer quelles tâches peuvent être déléguées et quelle budget vous pouvez lui attribuer et ensuite de déléguer selon les critères de décision suivant :

  1. Le prix et votre budget (si c’est peu cher, déléguez ; d’ailleurs, on a souvent des copains qui ne prennent rien 😉
  2. Votre degré de compétence (s’il est de 0, n’hésitez pas, déléguez !)
  3. Votre intérêt pour la tâche (si vous détestez et que vous allez procrastiner, déléguez !)

 Pour ma part, j’ai délégué :

  1. L’illustration de couverture, une illustratrice française et géniale trouvée sur upwork, budget à prévoir entre 50 et 150€ pour une couv upwork (vous aurez des propositions d’Indonésie ou des US, le prix n’est pas le même…).
  2. La création du logo du titre et le maquettage, une graphiste spécialisée dans l’édition manga recommandée par une « sensei » (mot japonais 😉
  3. La relecture. Là, je fais dans l’exagération. J’ai un premier relecteur payant, un « préparateur de copie » (Nico, la Plume numérique) qui lit mon 3ème jet (le 1er est le brouillon, le 2nd est celui après sa propre relecture, le 3ème est la réécriture après le retour des bêta-lecteurs). Il corrige les fautes, bien sûr, mais s’attarde surtout sur les répétitions, les lourdeurs de style et me fait parfois des retours sur l’intrigue. Bref, s’ensuit une nouvelle réécriture. Le second relecteur est une spécialiste de l’orthographe, une « secrétaire de rédaction » pure et dure (Emmanuelle Lefray, Correctrice), qui ne laisse rien passer, ou du moins pas grand-chose, car le zéro absolu n’existe pas. Elle fait directement ses corrections dans le texte et me renvoie une version propre et définitive. Budget de ce type de corrections ? Entre 0,70 et 1,50 les mille sec (signes espaces comprises). En tout, j’en ai eu pour plus de 800€ de corrections. Mais normalement, sauf erreur de maquettage et de clic de souris malencontreux, le livre est carré, plus carré même que s’il sortait de chez une grande maison, qui ont souvent jeté au feu un round de correction.
  4. Les goodies et visuels marketting : marque-page, bannière du site, visuel pour un concours, bijoux, etc. Je fais pas mal appel à Nuance Web et à Les bijoux de Lynéa. (budget : environ 150 à 200 euros pour les supports de comm et les goodies)

  Vous pensez ne pas avoir d’argent à investir dans votre livre ?

Question 1 : Combien d’argent cela coûte-t-il, quel risque cela implique-t-il d’ouvrir une pizzeria par rapport à sortir un livre ? Réponse, quasi rien. Lancer un business d’auteur est un des moins risqué.

Question 2 : Combien coûtait votre dernier sac à main, votre dernière paire de basket, votre dernière bague,  votre dernière montre ? Autre formulation : Qu’est-ce qui est le plus important pour vous, devenir auteur ou être beau gosse ?

Moi j’ai fait mon choix. Je roule dans une vieille Xsara, je porte des jeans troués et je fais réparer mes chaussures, je vais au coiffeur une fois par an et je vis à Montreuil. Et pourtant, j’ai un salaire pas si pire. J’ai défini mes priorités. Balancer plus de mille euros pour sortir un livre de qualité, c’est un juste retour des choses après avoir passé deux ans à l’écrire.

Les ratés : le marketing de lancement

Tranquillisée, je me suis attelée à chaque micro-tâche dans l’ordre, encadrant le travail de mes prestataires et le mien en suivant le cadençage près établi. Mon Gantt était très beau mais totalement surréaliste ! Malgré l’extrême délégation des tâches, il me fallait encore finir de réécrire mon bouquin !! Si je n’avais pas fait 45 heures (voire plus) par semaine car c’était la période chaude au boulot, il aurait été tenable, mais ça tombait mal. Et comme toujours, mon patron est passé avant mes rêves (un conseil pour être écrivain : restez à 35h et soyez fumiste ! Votre avenir en tant qu’écrivain auto-suffisant passe avant les poches pleines de votre DG, qui, soit-dit en passant, vient de se faire virer oO Pourquoi j’ai bossé ?

Résultat, je me suis focalisée sur le contenu du livre : réécrire mon premier chapitre, refaire une dernière passe sur le reste pour l’envoyer à la relectrice finale, améliorer mon quatrième de couverture.

J’ai abandonné l’idée de faire un concours
J’ai abandonné mon blog et ma newsletter.
J’ai abandonné Wattpad, Booknode, Monbestseller, etc. etc.
J’ai abandonné le community management.

 Et ce n’était pas le moment !!  Lors du lancement proprement dit, j’ai commis beaucoup d’erreur.

Première erreur, ne pas surveiller sur Amazon le moment où le livre est mis en ligne. Je l’ai envoyé le mardi soir, pensant qu’il sortirait pour de vrai le jeudi. Ansolument pas. Il a été mis en ligne quelques heures après que j’ai appuyé sur le bouton. Ce n’est pas bien grave me direz-vous. Mais si ! Pour Amazon, les premiers instants sont cruciaux… J’y reviendrais.

 Deuxième erreur, ne pas prévoir un article de blog et une newsletter annonçant la sortie. Je n’ai pas eu le temps, j’étais trop focalisée sur la création concrète du livre. Je pensais avoir le temps pendant mes vacances sur un bateau (que peut-on bien faire en bateau à part écrire hein ?) Et bien pas du tout. Déjà, dans un voyage comme les croisières du savoir, le temps libre se mesure au compte-gouttes. Ensuite, pas de wifi, impossible de connecter pour ordinateur à Internet. Bref : on oublie newsletters, articles de blog, posts Facebook complexes, montages photos et tout autre création complexe.

Troisième erreur, un cafouillage dans la communication Facebook. J’ai tenté de parler de mon livre avant de l’avoir fini. J’ai créé une page événement Facebook, où je discutais de l’avancement du projet. C’était une idée. Bon, j’avoue avoir transformé une page de teasing marketing en une page de « help ! Comment on fait ceci ? Help ! Donnez-moi votre avis ! » Mais bon, la tentation était trop tentante ^-^. Je vous donnerais un autre exemple d’une meilleure utilisation d’une page événement avec l’analyse du travail d’une amie.

Ensuite, cette envie de parler du processus de création du livre avant de parler du contenu du livre m’a poussé à poster en long en large et en travers des variantes de la couverture du livre. J’aurais dû garder au chaud la version finale que tout le monde attendait (forcément, j’avais demandé l’avis de tout le monde ;). J’aurais dû la révéler au grand jour au moment où j’aurais pu lui associer le lien amazon du livre. Dans un post « officiel » en bonne et dû forme comme me l’a réclamé un ami écrivain. Et là, je me suis dit qu’elle idiote ! J’avais parlé du livre mais pas annoncé sa sortie !! Résultat, lorsque j’ai posté le message officiel avec le lien et bien le soufflé était sacrément retombé… J’avais saturé mes amis de message périphériques sur la sortie du livre…

 Vous me direz, c’est pas grave ! Tes copains finiront bien par l’acheter ton livre et puis s’il est bon, cela se saura ! Non, pour deux raisons. La première est que le but de la communication Facebook n’est pas de faire acheter le livre à nos copains (on est trop sollicité par les achats de « cœur »). Le but est de créer une volumétrie de likes qui fait penser à Facebook qu’il faut nous montrer aux contacts de nos contacts. Et là, la visibilité n’est pas la même, on a alors une chance de rencontrer des lecteurs et pas seulement nos copains auteurs.

Ensuite, l’importance d’un lancement réussi est liée aux fonctionnements des algorithmes d’Amazon. De ce que j’en ai compris au fil de mes deux lancements :

  1. Amazon vous donnera toujours votre chance. Au lancement, vous avez un certain rang, bien plus haut que votre rang véritable.
  2. Dans les heures qui suivent, votre classement s’ajustera en fonction de vos ventes.
  3. Plus vous êtes haut dans le classement, plus vous serez visibles dans chaque catégorie et plus Amazon vous proposera en vente pour les livres similaires.
  4. Il vous proposera ensuite de faire des promos qui vous rendront visible en fonction des commentaires et des étoiles que vous aurez obtenus.

 Ainsi, si vous vous débrouillez pour vendre beaucoup au début, vous partirez du milieu de l’échelle. Il est donc plus simple pour monter vers le sommet et de profiter de l’exposition liée à votre rang. Un cercle vertueux se met en place permettant de vendre sans effort via la machine Amazon. Au contraire, si vous laissez le livre s’écrouler dans les classements à sa sortie, vous engendrez un cercle vicieux. Amazon va bouder votre livre et ne plus le montrer à personne. Il vous faudra ramer longtemps pour réussir à le remonter et à part si vous êtes un marketteur génial, vous n’avez aucune chance d’échapper à la spirale infernale. Enfin, il ne faut pas vendre uniquement le premier jour, car Amazon aime moyenner les ventes sur plusieurs jours.

Bref, une vente au lancement compte comme dix ventes en temps normal. Les chiffres peuvent varier mais vous avez saisi l’idée. Ne ratez pas votre lancement! La qualité de votre livre ne suffira pas à lui assurer le succès.

  Exemple de meilleurs lancements :

J’ai été frappé par la pertinence de la série de newsletters envoyées par Chris Simon pour faire la promo de Memorial Tour, son nouveau roman qui participe également au concours Amazon (à découvrir, c’est une expérience incroyable !). Elle a envoyé une série de newsletter en lien avec son livre, faisant du teasing, ouvrant des questions, tout simplement donnant un aperçu du livre sans trop en dire. Le thème s’y prête, le mystère et l’étrange étant l’essence du livre. Elle a également très tôt mis son livre en précommande sur Amazon avec un extrait sur Monbestseller. L’idée est de susciter l’intérêt de donner un avant-goût de la qualité du livre et de permettre d’acheter avant même la sortie. Le livre est ici.

 Dans un autre registre, mon amie Nikki Jenkins, qui n’en est pas à son coup d’essai non plus a une toute autre stratégie. Pour son nouveau livre, A modern Cinderella, elle a créé une page Facebook, qu’elle a animé, présentant ses personnages, offrant des contenus gratuits, proposant un concours et même un concours de nouvelles sur le thème de son livre ! Celles-ci seront intégrées dans l’ouvrage. Je trouve l’idée géniale. Elle a également mis en ligne des parties du livre sur Wattpad. Bref, avant même la sortie, on baigne dans son univers et on commence à connaître ses personnages. Quelle est la différence avec ma page Evénement ? Dans son cas, cette page résultait d’une envie naturelle de parler de son livre. De mon côté, l’envie de parler de mon livre a été remplacée par l’envie de réussir à le finir ce livre ! Bref, il y a une différence loin d’être subtile 😉

Ces deux auteures avaient un point commun : Très tôt, elles possédaient la couverture de leur livre, très tôt, elles savaient parler en image et en mots de leur histoire, de son univers et de ses personnages. C’est le plus important!

 Conclusion : Le concours, enfin !

Moralité des moralités : Mettre le mot fin sur un livre, c’est bien, mais ce n’est que le début !Il reste encore du travail 😉

Je vais bientôt lancer le concours que j’aurais dû faire à la sortie 😉 A gagner : un chèque cadeau Amazon, trois livres papier, un marque page bijou et des marques-pages classiques!  Guettez ma newsletter cette semaine 😉 Et si vous êtes déjà convaincus par le livre ou souhaitez me soutenir pour le concours, cela se passe sur Amazon!

^-^ Bonne chance à vous dans vos projets!


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Auteur : Ghaan Ima

J’écris depuis 10 ans, j’ai des idées plein la tête d’univers de SFF inspirés de mangas : geeks, otakus, anarchistes sur les bords et un peu barrés.

  • Merci pour ce retour d’expérience !

    Pour avoir suivi ton événement, ce que tu décris dans cet article me semble pertinent. Pour faire une métaphore très sérieuse, cela me fait penser à une course sur mariokart: tu étais bien placée pour te lancer, mais tu n’as pas eu le turbo de départ.

    De ma perspective lointaine, je pensais en fait que le roman était terminé quand tu as commencé à faire l’événement et non pas qu’il te restait des corrections à faire. Du coup, tes derniers moments étaient comme tu le dis techniques et non pas marketing/comm. Après, comme tu le dis, la vie pro ne t’en a pas laissé l’occasion et c’est là que ça craint :/

    Je te remercie aussi pour le détail du budget. Ton expérience est vraiment enrichissante, comme toujours

    • Ahah! Mario kart! J’adore la comparaison ^-^
      Bon, si tu arrives à y trouver quelque chose d’utile c’est super!
      Je note pour mon prochain lancement. Commencer plus tard la comm ou finir le livre plus tôt 😉
      Merci à toi ^-^

    • Ah ah, mais finir le livre plus tôt c’est pas toujours possible hélas !

      J’en profite, je rebondis sur le commentaire FB et on est d’accord, nous ne parlons bien que de la communication liée au lancement. Il faut parler du livre en amont si on veut susciter de l’intérêt, il n’y a aucun doute là-dessus !

    • Merci cindy!
      Ouf ça me fait toujours d’entendre ça car la couv c’est le pluuus important!
      On en reparlera 😉
      Bonne chance pour ton livre et bon courage pour la fin de l’écriture et les corrections qui s’en suivront 😉

    • Bien d’accord avec toi : si la couverture n’attire pas, même si le roman est génial, ça ne marchera pas (sauf si tu es super connu mais là c’est une autre histoire).
      Merci à toi 🙂

    • Non, ça passera en impôts sur le revenu. Mais il y a une manip à faire pour ne pas payer aux usa et en france (toujours pas faite, voir le site de jacques vandroux pour ces questions)
      de plus, je peux pas équilibrer les factures avec les gains ni recuperer la tva. Comme je me lance en freelance comme rédactrice technique en septembre, je vais voir à créer une sas avec des statuts très larges et à passer les bouquins dessus (pas sûre que j’ai le droit, je verrais avec ma CCI)

    • Nathalie Bagadey a publié une technique pour ces taxes américaines, avec tout le détail et print screen. Regarde, ça vaut vraiment le coup.

      C’est la partie tellement passionnante de l’auto-édition…

    • Merci! On peut faire pour un budget bien moindre mais j’essaie de m’approcher de la qualité professionnelle c’est pour ça ^-^
      Des graphistes font des montages photos pour pas très cher et si tu as des bonnes betas tu peux parfois te passer de correcteur pro. Mais vraiment si tu es sûr de l’orthographe ! 😉

      Bonne chance dans tes projets ^-^

    • Pour les corrections orthographiques je voulais me passer de professionnel car je connais des professeur des écoles qui pourrait m’aider et des bêtas lecteurs dans la famille 🙂 Par contre pour la couverture il me faut trouver quelqu’un de bon dans les graphismes 🙂 En tout cas l’article reflète assez bien la réalité de l’auto édition. Qu’on sache au moins où lettre les pieds si on veut un livre de qualité à présenter et comment le présenter.

    • Cool si tu as des personnes qui peuvent t’aider pour les corrections! Pour la couverture, si c’est du montage photo (genre romance), je connais une fille qui les fait pour moins de cent euros. Et demande aussi autour de toi! On est parfois étonné des compétences des gens. C’est mon beau frère qui a fait ma première couverture ^-^