À celui qui ne voit que des mots,
Plus ou moins bien agencés,
Quelques syllabes qui savent à peu près rimer…
Et si ce qui me tient à cœur, te passait par-dessus la tête,
Si forte cette douleur, tu n’en perçois que les miettes,
Que sais-tu de mes rêves, mes espoirs, mes sentiments,
La crainte du froid, la peur du néant…
Qui es-tu donc pour juger l’œuvre d’autrui,
Ces vers qui ne sont que le pâle reflet d’une vie,
Qui es-tu donc pour t’imaginer,
Détenir tant de secrets?
Commentaire:
Quel sale caractère! Le moi d’aujourd’hui est bien plus ouvert aux critiques… ^-^
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