Poème: Genova, Carlo

Aux cœurs enfiévrés, dont les poings acérés
Se lèvent vers le ciel
Aux pleurs empourprés dont l’espoir assoiffé
Se lit sur nos lèvres
Quand les bulles irisées se lèvent et palpitent,
Volètent et nous touchent de ce rêve, cette pépite
C’est le trésor éternel qui a toujours brillé
La flamme rebelle tapie en l’humanité

Mais le feu a vacillé, notre gestalt s’est embrasée
En un jour fait d’histoire, tu nous as quittés
En l’amour et l’espoir, je t’ai retrouvé
S’il en disent, ta mort a servie l’humanité
Je ne peux, je n’y crois car qui réalisera
Tes rêves, qui d’autre que toi l’aurait pu ?… Lire la suite