Froid, cruel reflet d’acier
Comment diable en ai-je rêvé !
Folie cruelle de cyberpunk
Et douce défonce d’une simple skunk
Vaisseaux, bas-fonds
D’une ville telle une prison
Qui serait notre maison
Comme une sorcière qui reverrait à dieu
Qui désespère de se lever le cœur pieu
Telle une brebis qui reverrait au loup
Tremblerait d’envie d’être à ses genoux
Haïr l’espace, le froid, sa glace
Détruire notre folie, cette technologie
Que puis-je faire de ce rêve de glas
Qui subsiste au plus profond de moi
Soupçon d’aventure mêlée
De violence, vivacité
Et si un peuple avait découvert la jungle
Dans ces villes où la nature telle une épingle
Resterait dissimulée
Et si nous avions identifié
La terre au béton armé
Je n’ose imaginer ce que nous sommes devenus
Malheur à moi, je l’ai rêvé, désiré et cru
Commentaire:
Un poème en plein dans ma période Gibson / Sterling. Et un peu barré, comme toujours ^-^. Je m’étonne encore parfois de ces deux personnalité au plus profond de moi. J’aime le cyberpunk, les seinen et l’horreur mais j’aime aussi la fantasy scintillante et la merveille elfique. Quelque part, j’essaie de réconcilier tout cela dans mes histoires.
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